Quelques citations de Fhemann
- Le passé et le futur sont les béquilles d’un présent bien imparfait.
- Quitte à faire une overdose, autant faire une overdose d’espoir.
- Quand on a pas de dents, il est suicidaire de s’attaquer à un carré d’agneau.
- Faire confiance à un politique, c’est un peu comme confier son chéquier à un kleptomane.
- Avant de tomber, résiste aussi longtemps que tu peux.
- Petit, si tu écoutes tes potes, tu seras un bonhomme, mais si tu écoutes ta mère, tu seras un Homme.
- Au delà des origines, rien n’est plus semblable que deux êtres dépourvus de tout confort matériel.
- La confiance est une relique sacrée, sa cassure est une mort lente.
- Rien ne rend plus heureux qu’un rendez-vous amoureux.
- La femme est à l’homme, ce que l’oxygène est à la vie.
- Le vivre ensemble est un jardin de fleurs qui s’arrose de bienveillance et de tolérance
- La route pour faire le tour de soi est beaucoup plus longue que celle pour faire un tour du Monde
- En creusant le sol de mes illusions, je cherchais juste un peu de ta chaleur
- À l’heure où les valeurs se meurent et que les agitateurs de peur sèment la terreur, je rêve que l’amour rayonne des montagnes sacrées de l’Himalaya jusqu’aux contrées placides de Fondjomekwet.
Pandémie fhémanique
INTRO « On rêve d’une nouvelle Afrique épurée des bases militaires étrangères, une nouvelle Afrique affranchie de la tutelle des États voyous, racketteurs et protecteurs des dictateurs… »
Sur les traces de Cheikh Anta Diop,
Je cogne sec mandaté par la riposte souterraine.
Au rythme des affrontements,
On s’enlise dans la crise.
La populace, lasse,
S’agace,
S’organise,
Se mobilise,
Indexe la milice étatique,
Cette milice étatique qui éborgne le peuple,
Le peuple qui peine à vivre du fruit de son labeur. Pendant que le soulèvement populaire prend de l’ampleur, les donneurs d’ordres font du tourisme diplomatique,
Comme quoi faire confiance à un politique c’est un peu comme confier son chéquier à un kleptomane…
La crise est politique,
La crise est économique,
La crise est diplomatique,
La crise est climatique.
Refrain
C’est une pandémie,
Pandémie fhémanique qui s’abat,
Qui s’abat sur les serviteurs des ténèbres…x 2
P.4.5-ANTI-666-anti-666
Dans la rue comme sur le beat,
Je milite pour la chute de l’élite des hypocrites,
La cour pénale internationale s’acharne sur les petits poissons alors que les gros requins se la coulent douce, donc…
Je dis Fuck la C.P.I, LA C.P.I, LA C.P.I…
Je dis Fuck la C.P.I, LA C.P.I, la C.P.I,
Fuck aussi ces tarés adaptes du pré carré qui font tout de travers, Je ne peux plus le blairer parce qu’ils sont allés trop loin et passée la limite du raisonnable mes vers deviennent amers, austères, patibulaires.
En clair frère, rien à cirer de la garde à vue de Bolloré,
mes pensées vont vers les victimes de Bolloré.
Les petites misères des héritiers des rentiers,
Je m’en tape, m’en tape comme des hémorroïdes du PAPE.
Depuis que ces esclavagistes décomplexés ont pris le pouvoir.
L’argent est devenu roi et désormais l’avenir appartient à ceux qui ont des ouvriers qui se lèvent tôt,
Nous sommes là pour inverser la tendance,
La partie s’annonce rude mais nous avons l’habitude, prenons de l’altitude,
Flirter avec la facilité n’a jamais été ma tasse de thé…
Nous nous battons pour une nouvelle AFRIQUE épurée des bases militaires étrangères,
Il est temps d’en finir avec la mainmise impérialiste des Etats voyous RACKETTEURS ET PROTECTEURS DES DICTATEURS.
À l’ombre des regards indiscrets,
Ces dépouilleurs de morts enfantent des lois liberticides et c’est parti pour un regain d’homicides, parfois aux pesticides.
Sur les plateaux médiatiques ça fanfaronne, déconne,
Occultant la tragédie du Chlordécone,
Penja, Njombé, Mbanga, Martinique, Guadeloupe et aux quatre coins du globe c’est l’hécatombe, Le taux de cancer explose, Pendant que le peuple remplit les cimetières, leurs affaires prospèrent.
Frère, c’est clair, Qu’ils sont passés experts dans l’art de faire des affaires avec LUCIFER.
L’heure n’est pas au débat,
Donc j’amorce un poing de compression verbal pour tenter de stopper l’hémorragie sociétale,
Certains oubliés de la croissance agonisent dans le fleuve de la démence, pétrifiés par le poids d’une société en décadence,
Pénible est le constat,
Cette coulée de boue est le résultat d’un cannibalisme intellectuel qui n’est pas près de tomber en décrépitude,
Au peloton du prestige,
On fonce vers la réussite sociale,
Un pont épineux dressé pour écarter les indésirables,
Là commence la frontière entre ceux qui payent les impôts et ceux qui les bouffent,
C’est tout une culture,
Celle de savoir convertir les richesses publiques en richesses privées,
Voilà à quoi se résume leur système égalitaire.
Les dormeurs du trottoir
À même le béton,
Il dort d’un sommeil de plomb,
À la merci des cons et des morpions,
Assise à ses côtés,
Sa promise et leur chien veillent,
Elle n’a pas sommeil,
Tout autour,
Que de bruits,
Que d’agitations,
Seringue pleine,
Certains cherchent la veine,
Oiseaux sans nid menant une vie de survie, Quotidien de damnés,
Zoner tout le temps sans voir les journées se faner.
Aaah ne cherchez pas,
Tout est si sombre au royaume des ombres, Laissez-moi pousser les décibels pour ceux que l’on appelle…
Refrain :
Les dormeurs du trottoir,
Quelle société, oh oh
Les Anges aux abois,
Quelle société, oh oh
Aie aie aie aie aie aie !
Comme une accalmie, comme une éclaircie, Maraude…
Maraude,
Un thé ou un café ?
Une couverture ?
Moment d’échange,
Moment de partage,
Ça réchauffe le cœur,
Réchauffe…
Réchauffe le cœur.
Poussons les décibels pour ceux que l’on appelle…
Refrain
Nuit d’errance dans une ville déserte,
Vent violent,
Claquements de dents, gestes lents,
Autre lieu, autre milieu,
Même histoire, Ventre vide,
Solitude,
Peine de cœur entre autres,
Pas mal de souffrance dans un monde de violence,
Mais qu’est-ce que tu veux,
On fait comme on peut,
Tout est si sombre au royaume des ombres, Dormir dehors à ruminer sur son sort,
Dormir dehors sur un pucier de remords, Dormir dehors et voir venir la mort.
Widélakawidé
Jolie hirondelle au cœur blessé
Sèche tes larmes
La couleur de ta peau est un patrimoine génétique
Son origine trouve racine aux confins de ton histoire
C’est vrai pour toi et c’est vrai pour les autres
Alors sèche tes larmes
Ce n’est pas se compromettre que de l’admettre
Bien au contraire
C’est ce dont tu dois être le plus fière
Quand la brume venimeuse de l’intolérance assombrit la clarté de ton esprit
brandis fièrement l’étendard de ta différence
C’est ton trésor
C’est ta richesse
Car au fond…
Refrain,
Alibinos, Noirs, Blancs, Jaunes, Widélakawidé
Parfait ou important
Widélakawidé
Cramés ou pas cramés
Widélakawidé
Fils, la vie c’est l’amour
L’amour sans le vice
Métisses, Noirs, Blancs, Jaunes
Widélakawidé.
Tendre poussière d’Ange…
N’entre pas dans l’antre des cancres
ne tombe pas si bas
Sèche tes larmes
Arrose tes idées noires de ma prose rose
Je veux voir naître dans tes yeux de sirène les roses de la métamorphose
Tiens
Voilà les roses de l’amitié
de la complémentarité
de l’unité dans la diversité
au diable tous ces moments d’égarement ou les rancœurs s’attisent
redresse-toi et brandis fièrement l’étendard de ta différence
C’est ton trésor
C’est ta richesse car au fond…
Refrain,
Les Hommes ne sont que les branches sur l’arbre de la vie
La vie l’élément le plus sacré jamais existé
La fête des morts est là pour nous rappeler que chaque seconde qui passe est une vie à vivre
à quoi ça sert de se terrer dans le labyrinthe des préjugés et créer les conditions de sa propre frustration ?
Pour dénouer les crispations
Je t’amène faire un pèlerinage à la baie des anges
Là où le sabotage sauvage des barges se désintègre devant la beauté du message des SAGES.
Petite Merveille
Comme une hirondelle qui déploie ses ailes
tu fais tes premiers pas, un peu chancelant, ouais
un peu hésitant, c’est bien mon enfant!
Encore un effort, ô bravo mon trésor!
Tant d’énergie, tant d’envie, je t’aime, je t’aime.
Moment d’extase, vertigineux, état second, je plane, je plane.
Il pousse des fleurs dans le jardin de mon cœur
délice, délice, feu d’artifice…
Rends moi un service, pas de malice,
ton bibi est prêt, ton bibi est prêt, allez viens voir papa…
Refrain
Petite Merveille, petite Merveille, je t’aime, je t’aime. Ô mon petit cœur, je t’aime si fort.
Viens manger, fais ton rototo et au dodo.
Mais où tu vas? Reste là, ne t’éloigne pas.
Dehors c’est tendu, pas un jour ne passe sans que l’effroi
ne vienne réclamer son dû. Combien de drames? Combien de larmes?
De marches silencieuses? Viens dans mes bras, je veille sur toi,
prunelles de mes yeux. Tu veux un aveux? Je t’aime, je t’aime,
Ne l’oublie jamais. J’ai connu le pire, tu mérites le meilleur.
Il y a le dégueu…mais aussi le merveilleux.
Refrain
J’aime ta pureté, j’aime ton innocence. J’aime ton doudou,
fais lui des bisous tant que tu veux. Si tu m’en gardes un peu,
je ne serais pas jaloux. On s’en fout des fous qui parsèment
la haine. Nous n’y sommes pour rien dans la fureur du monde.
Combien de guerres? Combien de veuves? Combien d’orphelins?
Affreux , affreux! Moi, je préfère ta chaleur. Chevauche tes jouets
papa veille sur toi. J’ai bâti dans mon cœur, une forteresse. Tu y
seras à l’abri des intempéries de la vie.
Ena
La brise matinale caressait nos joues
et déjà t’avais perdu ton sourire si doux.
Ton visage d’ordinaire si joyeux
s’était mis au diapason de nos adieux.
La gorge nouée pour étouffer les sanglots,
les dents serrées pour ne pas exploser,
pourtant, on s’était juré de ne pas pleurer
mais sous ta robe à fleur, t’avais le cœur en pleur.
Nous étions gamins et la vie nous séparait,
sans toi, je partais, je partais vers mon destin,
ignorant alors, que notre sainte vallée
deviendrait un repère d’assassins dégénérés.
refrain : nakanounaena oh
oh oh oh oh, hey hé ena oh x 2
aah aha aaah
Crime majeur portant le sceau des ordures.
Dure est cette culture de l’atrocité qui perdure.
La nature nous offre son hospitalité et ses fruits
mais l’on n’en a jamais assez, on en veut toujours plus.
Autrefois ici, la faune et la flore cohabitaient en harmonie,
l’automne tropical n’inquiétait pas les autochtones.
La luxuriante végétale conservait sa densité…toute sa beauté
mais c’était bien, bien avant que les seigneurs de la guerre et certains
pourris de l’industrie du bois ne fusionnent
pour le plus barbare, le plus sauvage des carnages.
Refrain
Je te cherche partout dans ce décor de fin du monde
mais je ne trouve nulle trace de toi ma petite colombe.
As-tu pu rejoindre un camp de réfugiés ou as-tu fini
enseveli sous une pluie de bombes ?
Partout c’est le chaos et la désolation.
Fini l’harmonie et les arbres centenaires,
fini aussi les sérénades romantiques des rossignols
qui commençaient sur un palétuvier,
se poursuivaient sur goyavier et ce de janvier à janvier.
Ah, plus que contrarié, j’ai la joie de vivre à jamais avariée
Elégie des Accents
Comment résister à ses courbes escarpées ?
à sa démarche chaloupée ?
Non,impossible de se tromper sur son allure sensuelle ,
voluptueuse et rebelle /
l’aube dit de lui que c’est un mâle aux hormones de femelle ” fort et faible “
lait et beau,
tout en relief ,
tout en nuance comme une larme de joie /
Curieux et mystérieux comme le silence d’un miséreux /
esprit galbé, avantageux et drolatique,
plus qu’un identifiant fantastique /
c’est un stimulateur de zygomatique
Refrain,
Elégie des accents,
ça se sent, j’ai mon accent dans le sang /
Elégie des accents,
j’aime ton accent au parfum d’encens /
Elégie des accents,
Ça se sent j’ai mon accent dans le sang /
Elégie des accents,
j’aime ton accent au parfum d’encens /
Borgne et roi au firmament du divertissement,
le monde du spectacle lui doit tout /
galant et hilarant,
assurant même quand c’est pas marrant /
ses fêlures les plus profondes sont autant de pistes d’inspirations fécondes /
du burlesque grotesque, gigantesque au gentil conte de fées truffés d’arabesques /
disponible et accessible, ne rechignant guère devant les figures de styles les plus pénibles /
maîtrisant les technique de survie en milieu hostile,
il est aussi jovial qu’un poisson d’avril /
Refrain,
Dans le grottes les plus exiguës de la moquerie sournoise,
il a souvent essuyé des salves de tirs anarchiques de la part des plaisantins crétins,
de quoi perdre son latin mais il n’en tient aucunement rigueur aux diablotins,
Incertains sont les chemins du lendemain,
espérons qu’un jour ils découvrirons qui est ce petit rien qui les habites donnant aux bipèdes avides de particularité leur singularité /
Brillant,
étincellent,
il excelle dans l’art du noble et de l’impalpable.
Refrain.
Auteur : Fhemann
compositeur : A ayora
Kora joué par : Abdoulaye Dembélé
Extrait de l’album : La douleur des Anges
Kaolo time
INTRO,
Ô toi, citoyen terrien,
toi qui n’a pas les mains sales et qu’on traite comme un vaurien,
toi qui as vu les horreurs les plus effroyables,
toi qui as payé le prix fort pour ta survie,
toi dont le seul tort est d’être en vie,
saches que tu ne marcheras jamais seul…jamais,
la lune rayonne de sa lumière fine et je maudis cette peine qui te chagrine.
.
L’époque est « moderne’ment » primitive,
alors on s’active pour les ombres-vives pensives,
qui vivent sur le qui-vive, ouais !!!
Les experts de la « démagocratie » peuvent pointer du doigt les insensibles dragons de l’empire du milieu ?
mais est-ce que ici, les rafles et les morts suspectes de nos congénères sont en phase avec l’idée que l’on se fait des Droits de l’Homme ?
Non ! non ! et non !
Voilà pourquoi l’encre noire de ma plume divine restera à jamais une parade contre leur mascarade,
REFRAIN x 2 pour tous les frères, les sœurs qu’ont la tête dans l’eau,
Wana guip kaolo, wana guip kaolo Kaolo time na yi Fhe-mann, kaolo time Wana guip kaolo…
« prime au retour »
liqueur d’affaiblissement stratégique,
les effets sont catastrophiques, au fait,
qui a égorgé le rêve naissant et incandescent des bambins du bout du monde ?
Tu ne vois pas, pourtant je te parle de civilisation violée,
je te parle de l’exode massif des populations sans nations,
qui sponsorise les conflits armés ?
à qui profite le crime des semeurs de morts de masses ?
que les créanciers carnassiers arrêtent de spolier les pays suppliciés,
peut-être que l’avenir sera moins morose.
REFRAIN X 2
Cours avec le vent ou suis le mouvement qui va vers le changement,
trop d’âmes se sont noyées dans les eaux troubles du déracinement,
témoin horrifié d’une déchéance croissante,
ça me désole mais fléchir c’est périr donc on tient bon car sans papiers
n’est pas le nom d’un nouveau jambon,
c’est l’étiquette des humiliations répétées,
l’étiquette des humiliations orientées,
derrière tout ça, il y a des roses humaines qu’ont la tête sous l’eau,
des vies brisées que tout l’or du monde ne peut soulager.
Refrain. X 2
Ô toi dont les complaintes laissent de glace les chevaliers de la casse, toi qui subsistes dans les caves de la vie et rases les murs pour ne pas qu’ils te prennent,
Toi qui rêves d’une brève trêve, juste pour souffler et reprendre des forces, saches que tu ne marcheras jamais seul… jamais.
Auteur : Fhemann
Compositeur : Ayora A
Extrait de l’album : la douleur des Anges
LES SEIGNEURS DE LA FONTE
Et soudain résonnent les pas de l’automne
À chaque fois
les mêmes images reviennent
les feuilles se meurent et les couleurs fleurissent
des caprices du temps
plus rien ne m’étonne
l’été parti
la fête continue quand même…
les héros de l’haltéro entrent en scène
l’enjeu est de taille
décrocher des médailles
à la conquête du Graal
ils sont sans égal,
Refrain…
Pour les seigneurs de la fonte /
pousse un cri/ Ouais !!!
pousse un cri / Ouais x 2
pour l’haltérophilie
va s’y pousse un cri / Ouais !!!
pousse un cri, Ouais x 3
Le bonheur est un droit /
prenons de la hauteur /
pour la beauté du sport
on arrive en renfort /
l’énergie à ras bord et on t’en donne encore /
Toujours prêt à faire souffler le vent de l’effort /
Ni de Mars /
Ni de Jupiter /
l’art des haltères est né sur terre et ça ne fait aucun mystère /
voilà pourquoi dans le ciel clair de la sphère fer /
l’Haltérophilie fait flotter sa bannière /
l’heure est à la fête /
les soucis au vestiaire /
Fils et Filles du Monde /
entrez dans la ronde /
venez faire honneur aux seigneurs de la fonte /
Place à la joie /
aller donnez de la voix…
Refrain,
Apôtre du rêve au service de l’effort /
entre succès et échec /
ont s’encouragent /
l’haltérophilie est une école de la vie /
on gagne pour l’honneur /
Mais l’essentiel est ailleurs /
Autour de moi /
les visages sont radieux /
entre poignées de mains et bisous chaleureux /
je vois des gens heureux /
c’est tout ce que j’aime /
Ô voir des gens heureux /
c’est tout ce que j’aime…
Refrain.
Auteur: Fhemann
Compositeur : Steff A.K.A Maestro
Interpretes : Fhemann et Jélila Bouraoui
Single : Mentale Théorie